Le soleil blanc du silence...
Nouveau roman en préparation...
Oran, 5 juillet 1962.
Et… nous y fûmes heureux. Tellement heureux. Alors, quand les orages de l’indépendance ne viendront plus nous frapper, où irons-nous monsieur de Gaulle ? Vers quelle patrie ? Quel horizon ? Quelle destinée ?
Qui pourrait croire pareille histoire, hormis ceux qui l’ont vécue ? Hormis ceux qui ont été monstrueusement trahi par celui qui était pourtant le garant de leur sécurité ? Alors serait-ce le récit d’un parjure ? Très certainement. Un parjure, monsieur de Gaulle, est un faux serment, une promesse fallacieuse bercée de traîtrise ; et c’est exactement ce que vous avez fait envers vos concitoyens. Nous qui sommes nés français et qui étions si passionnément attachés à notre terre. L’Algérie.
Une histoire que nul ne peut comprendre, hormis ceux qui l’ont si douloureusement et dramatiquement vécue.